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GinyBlog
11 décembre 2012

Chroniques de l'oiseau à ressort

Ça y est, je l'ai enfin terminé ! Je suis sur ce livre depuis presque trois semaines et j'ai cru que je ne le finirai jamais !
Il m'a été offert et j'ai trouvé que c'était une très bonne occasion de découvrir la littérature japonaise, à travers un auteur dont j'entendais régulièrement parler. Un peu plus d'un an qu'il était en ma possession, d'après ma nouvelle répartition de lecture, il était plus que temps de le lire. Alors je m'y suis attaquée !

books4ème de couverture : Un beau jour, la vie de Toru Okada, jeune banlieusard sans emploi, bascule pour de bon. Tout commence avec les coups de téléphone équivoques d'une mystérieuse inconnue ; puis le chat, qui s'échappe ; et le chant hypnotisant d'un oiseau perché non loin de là.
Le rêve, l'aventure, la bifurcation soudaine d'une existence toute tracée : est-on prêt, une fois dans sa vie, à tenter l'abordage des frontières inédites ?

Que dire sur ce livre... Pour faire court, je n'ai pas du tout aimé. L'intrigue est complètement improbable, le récit part dans tous les sens. De plus, il est très largement entrecoupé par d'autres récits parallèles.

Pendant les 200 premières pages, le seul événement notable est la disparition du chat du personnage principal. On a un récit qui se traine en longueur avec la description du déroulement de chacune des journées, y compris des repas de Toru Okada. Cela change un peu avec ce qui arrive à sa femme mais cela reste très fastidieux.

Et puis après cela part tellement en live que l'on ne comprend plus rien. Le récit est pollué par des épisodes de la seconde guerre mondiale reliés au passé des personnages secondaires. Il n'y a quasiment pas de lien entre tous ces éléments. Et j'avoue que je n'ai pas vraiment tout compris. Trop étrange pour moi.

847 pages

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Commentaires
É
En tout cas félicitations pour avoir lu 847 pages d'un livre qui ne te plaisait pas !! moi j'aurai sûrement jeté l'éponge.
D
Un bon souvenir de lecture pour moi: j'ai justement eu l'impression que les relances étaient permanentes, si dérisoires qu'elles soient, et arrivaient juste au moment où j'étais tenté de laisser tomber. <br /> <br /> <br /> <br /> Je me suis par ailleurs permis de te taguer - c'est ici: <br /> <br /> <br /> <br /> http://fattorius.over-blog.com/article-le-tag-livresque-ou-je-me-livre-113558440.html<br /> <br /> <br /> <br /> Bien du plaisir!
G
Il est dans ma PAL, mais j'ai lu quelques billets qui prennent les mêmes éléments que le tien, donc je pense que je ne l'ouvrirai jamais.
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