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GinyBlog
9 septembre 2013

La femme du Vème

Hier et aujourd'hui, ma fille a fait de longues siestes, ce qui m'a  permis de bien avancer dans ma lecture, entre deux obligations ménagères... J'avais décidé de lire un roman recommandé et prêté par ma maman. C'est le premier livre de Douglas Kennedy que je lis. 

femme5eme-kennedy

4ème de couverture : Il y a encore quelques mois, Harry Ricks était professeur dans une université américaine et menait une vie tranquille avec sa femme et sa fille. Aujourd'hui, il survit tout juste dans une chambre de bonne crasseuse à Paris, au fin fond du Xe arrondissement, et n'a plus aucun contact avec sa famille. Alors qu'il croit toucher le fond, la passion fait irruption dans sa vie : elle s'appelle Margit, elle est hongroise et sensuelle. Et très énigmatique : Harry ne devra pas lui poser de questions sur son travail, son passé, sa vie, et ne pourra la voir que deux fois par semaine, à dix-sept heures, dans son appartement du Ve. Comme envoûté, Harry accepte. Mais bientôt se produisent autour de lui d'étranges coïncidences.

La première chose que j'ai trouvé intéressante à la lecture de ce livre, c'est de lire une description de la France, et plus particulièrement de Paris, à travers les yeux d'un auteur étranger. Il n'a pas la même manière de voir notre pays et cela se sent dans le premier chapitre. Paris reste au yeux de l'auteur comme une ville cosmopolite mais aussi très culturelle. J'ai également aimé le style d'écriture que j'ai trouvé très fluide et explicite, donc une traduction bien réalisée. 

La première partie de l'histoire est la description de la descente vers les enfers du narrateur. L'utilisation de la première personne nous plongeant de suite dans le coeur de l'intrigue. La deuxième partie est plus "fantastique" avec ces coïncidences qui permettent au personnage principal de se sortir de situations de plus en plus rocambolesques. Du coup, on se demande vraiment comment tout cela va se terminer et les pages s'enchaînent les unes après les autres très facilement. Le roman est assez court finalement, mais cela suffit tout à fait à exploiter tous les ressorts de l'intrigue. Je pense que je tenterai de nouveau l'expérience avec cet auteur. 

377 pages

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Commentaires
L
Coucou Virginie et félicitaitons pour ta petite fille, surtout lis les autres romans de D. Kennedy, je te recommande particulièrement la poursuite du bonheur, ils sont de loin bien meilleur que celui là ! Biz
L
Coucou Virginie et félicitaitons pour ta petite fille, surtout lis les autres romans de D. Kennedy, je te recommande particulièrement la poursuite du bonheur, ils sont de loin bien meilleur que celui là ! Biz
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